L’essence même des cadeaux est de surprendre, mais de surtout donner satisfaction à leurs destinataires. Alors qu’est-ce qui nous empêche de nous faire plaisir de temps en temps ? Je m’offre des cadeaux régulièrement. Charité bien ordonnée commence par soi-même !
Enfin mon premier vélo électrique !
Peu importe la circonstance, un cadeau venant d’un membre de la famille, d’un ami ou d’une connaissance est toujours source d’un grand bonheur pour moi, surtout si c’est de bon coeur. Néanmoins, dans soixante-dix pour cent des cas, le présent choisi répond rarement à mes besoins et à mes attentes. Bien sûr, il m’est déjà arrivé de recevoir à deux ou à trois reprises un article que je désirais vraiment, mais c’était surtout lorsque les personnes m’avaient demandé mon avis.
Pour pallier à cette situation, j’ai décidé de m’accorder de temps en temps des petits caprices. Et dernièrement, je désirais à tout prix un vélo électrique de chez Holland Bikes. L’été dernier, deux collègues de travail m’ont convaincu de faire du cyclisme urbain avec eux et j’ai tout simplement adoré l’expérience. C’était très différent des raids en VTT auxquels j’étais habituée. De plus, il n’y a pas besoin d’attendre l’arrivée du beau temps pour pratiquer cette activité. Par ailleurs, je peux également utiliser la bicyclette comme moyen de locomotion pour me rendre à mon travail.
C’est particulièrement efficace pour se faufiler entre les voitures dans les embouteillages. Fini d’arriver en retard au bureau, ainsi qu’à mes rendez-vous professionnels. Qui plus est, en faisant du vélo régulièrement, je vais perdre mes kilos superflus et retrouver ma ligne. Bref, il me fallait immédiatement cet équipement. Malheureusement, mon anniversaire est déjà passé et Noël est dans plusieurs semaines. Je n’avais pas d’autre choix que de m’offrir le vélo moi-même. Et il y a dix jours, le vélo m’a été livré à domicile, génial !
Je m’offre aussi des accessoires de marque
Sinon, comme toute inconditionnelle de mode qui se respecte, je craque complètement sur les chaussures et les sacs à main de marques. Mais comme ces accessoires de mode reviennent très chers, je ne peux m’en acheter qu’une ou deux par an. Autrement, je serais dans le rouge et j’aurais beaucoup de mal à boucler mes fins de mois.
Mon astuce ? Je me suis fixée une règle sur le nombre de sacs et de paires de chaussures que je m’autorise à acheter chaque année. Plus précisément, je m’octroie ces folies seulement deux fois dans l’année à savoir le jour de mon anniversaire et Noel. Et même si j’en reçois en cadeau, ce n’est arrivé qu’une fois, j’en achète toujours, puisque je les prévois déjà dans mon budget annuel. Et c’est comme ça que je suis arrivée à me constituer une petite collection de sacs Louis Vuitton et Longchamp, au grand dam de mes meilleures amies.
Et pour faire encore plus d’économies, il faut savoir que ce sont très rarement des articles neufs, plus particulièrement pour les sacs à main. Je les déniche via les ventes privées, ou encore en participant aux ventes aux enchères. Ce deuxième mode d’achat présente tout de même un grand risque à savoir tomber sur des contrefaçons magnifiquement exécutées.
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